Revue de presse
Remous dans les syndicats indépendants (03/03/1959).
Dans les syndicats (04/02/1969).
La CFT : l'opinion publique nous donne raison (29/11/1969).
La CFT s'élève contre la politisation des milieux de l'enseignement (02/12/1969).
La CFT réclame une égalité de droit avec les autres centrales syndicales (13/08/1970).
La CFT réclame de nouveau le droit de se présenter (04/09/1970).
M. Léo Hamon dément avoir accordé un rendez-vous aux dirigeants de la CFT (25/09/1970).
La CFT a été reçue au ministère du travail (30/09/1970).
Nous serons 10.000 syndiqués de la CFT à manifester (16/10/1970).
La CFT poursuit sa campagne pour obtenir la représentativité (20/10/1970).
La fédération CFT des Grands magasins adhère à Force Ouvrière (23/06/1971).
La CFT lance sa campagne contre la politique sociale du gouvernement (03/09/1971).
Le premier ministre CHABAN-DELMAS écrit à M. SIMAKIS (01/10/1971).
Le congrès de la CFT s'ouvre à Nice (30/10/1971).
M. Jacques SIMAKIS plaide à nouveau pour la représentativité de la CFT (02/11/1971).
La CFT estime que le parti communiste reconnait sa représentativité (14/08/1972).
Nous vivons en régime de dictature syndicalo-politique (17/10/1972).
Congrès extraordinaire de la CFT (13/09/1975).
Auguste Blanc succède à Jacques Simakis à la tête de la CFT (16/09/1975).
Lettre de Jacques Simakis (28/05/1976).
L'histoire agitée de la CFT (08/06/1977).
La CFT décide de s'appeler Confédération des Syndicats Libres (21/11/1977).
Mme Bricot, concierge (25/05/1977).
Aigreur et restructuration chez Viniprix : "nous voulons rester des salariés" (04/06/1984).
Le pétrin de Félix Potin (21/05/1988).
Guérilla autour de Félix Potin (23/01/1995).
Félix Potin : l'inquiétude grandit au sein du personnel (31/01/1995).
Le nouveau gérant de Félix Potin fait revivre la guerre syndicale (18/03/1995).